🪙 ₿itcoin : de l'Or numérique ? (Partie 1)
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What’s on the menu this week ?
🔮 Décryptage : 🪙 ₿itcoin : de l'Or numérique ? (Partie 1)
🚀 Levées de fonds de la semaine : +245 millions d’euros levés cette semaine par nos pépites du Futur de la Banque et de la Finance. Et selon nous, Nomupay et AYDO ont vraiment le Mojo !
🏦 Et les acquisitions dans tout ça ? Zoom sur les principales acquisitions start-ups de l’écosystème.
🤫 Shhhh. Les Hot News de l’écosystème ! Une sélection réalisée aux petits oignons des nouveaux partenariats bancaires/start-ups, closing de fonds, actualités start-ups…
🎁 Bonus News : un mélange d’actualités manquées, évènements à venir, sélection de mappings… tout y passe !
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🔮 Décryptage
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🪙 ₿itcoin : de l'Or numérique ? (Partie 1)
Bitcoin Bitcoin Bitcoin… C’est le mot sur toutes les bouches ces dernières semaines… En même temps, en 6 mois, le Bitcoin a augmenté de 80% et a même atteint 101 000 euros durant le mois de décembre. En 2025, selon des prédictions d’analystes et d’institutions financières, notamment de Bernstein, le BTC pourrait atteindre 200 000 dollars, rien que ça… Eric L'archevêque, premier investisseur crypto français dit même que le BTC pourrait atteindre 1 millions un jour (what ! 🤯)
Défini comme un système de cash numérique par son fondateur, considéré comme une commodité par la CFTC aux USA, ou comme un scam qui va s’écrouler… depuis plusieurs années, le Bitcoin est souvent comparé à de l’Or digital. Mais pourquoi dont ? Et surtout Mojo, peut-on vraiment comparer ces deux ressources ?
🔙 Retraçons l’histoire…
Avant de comparer Bitcoin et Or, qu’est-ce que le Bitcoin ? D’où ça vient ? Qui est derrière cette innovation ?
Création
2008… Pour le commun des mortels, c’est bel et bien l’année de la crise financière, suite à la crise des subprimes (prêts hypothécaires aux Etats Unis). Le monde financier s’écroule, Lehman Brothers chute en septembre 2008 et fait dévisser la bourse mondiale… La confiance envers les institutions financière est quelque peu rompue..
Le 31 octobre 2008, un certain Satoshi Nakamoto publie un message dans une liste de diffusion d’e-mails réservée aux cypherpunks (mouvement de personnes utilisant la cryptographie et prônant la liberté d’expression sur internet) dans lequel il invite les lecteurs à aller sur Bitcoin.org, site sur lequel est hébergé le livre blanc du Bitcoin. Sur ce libre blanc, Satoshi Nakamoto présente de façon méticuleuse son invention : la création d’un système Peer to Peer, pour “effectuer des paiements en ligne directement d’un tiers à un autre”. Dès le début, Satoshi prévient : le bitcoin sera une ressource rare, et ne dépassera pas les 21 millions d’unités. Pour information, il y a actuellement 19 807 187 BTC en circulation, la limite devrait être atteinte d’ici 2140.
Technologie
Mais du coup, comment ça marche ? Eh bien, ce système de paiement bitcoin est basé sur la blockchain. On a d’ailleurs tout un décryptage dédié à ce sujet :
Et pour mettre en circulation de nouveaux bitcoins, il faut les miner… Un peu comme l’or quoi ! Cela permet également de valider les transactions et de maintenir la sécurité du réseau.
En fait, pour valider une transaction et créer de nouveaux bitcoins, les mineurs se mettent “en compétition” et vérifient les transactions, qui seront ensuite ajoutées dans un “bloc”. En récompense de leur travail, ils reçoivent des bitcoins nouvellement émis !
Ce système permet tout simplement de ne pas dupliquer une transaction et d’éviter la “double dépense”. En fait, si la banque te donne un billet de 10€, c’est un bien physique, donc tu ne peux pas le dupliquer. Alors que dans le numérique, copier coller un document, c’est facile. Ce système de minage sur un système Peer-to-Peer permet d’éviter cela et d’assurer l’unicité de chaque transaction.
Démocratisation de l’usage
Dans un moment où la confiance aux institutions financières est rompue, comment le bitcoin passe d’une idée sur un forum à ce que c’est aujourd’hui ?
Au moment de sa création, le bitcoin ne vaut que 0,001 dollar, soit le coût de production en électricité que nécessite la création d’une unité par ordinateur. Rapidement, Hal Finney, un cryptographe, devient le premier homme à recevoir du bitcoin, le 13 janvier 2009, dans un échange avec Satoshi Nakamoto.
Bon, et ensuite, pour devenir une monnaie, il faut pouvoir acheter des choses avec… Et la première chose, c’est tout simplement… Une pizza. En 2010, Laszlo Hanyecz laisse un message sur le forum Bitcoin Talk où il demande des pizzas pour 10 000 bitcoins et seulement quatre jours après, un utilisateur britannique lui a acheté des pizzas… Quand on sait qu’aujourd’hui, 10 000 bitcoins c’est presque 1 milliards d’euros, on est probablement sur les pizzas les plus chères du monde !
Bref, les années passent, et le bitcoin explose complètement et est démocratisé de plus en plus. Il sera d’ailleurs utilisé pour :
Contourner des sanctions : en 2011, WikiLeaks le site qui publiait des documents classés Top Secret, reçoit des dons en bitcoins suite aux sanctions américaines ;
Préserver son épargne : en 2013, des chypriotes achètent des bitcoins pour préserver leur épargne face à la crise ;
Faire des transactions illégales : bon ça, c’est moins drôle, mais le bitcoin est régulièrement utilisé pour des ventes d’objets illégaux. Le plus connu est Silk Road, un site hébergé sur le dark net qui vendait des armes et de la drogue. Bon, le site a fermé et son propriétaire est en prison, mais d’autres ont émergé depuis…
Devenir une monnaie officielle : Le Salvador a adopté le bitcoin comme monnaie légale en 2021, devenant le premier pays au monde à reconnaître une cryptomonnaie comme monnaie officielle.
Depuis novembre 2024, le bitcoin explose, notamment grâce (ou à cause) de la réélection de Donald Trump. En effet, le 47ème président des Etats Unis a notamment affirmé en juin dernier son souhait que tous les bitcoins restants soient fabriqués aux USA. Et quand on sait que Trump s’entoure de Musk dans son gouvernement, grand fan du bitcoin (ou plutôt du Dogecoin), ça aide aussi.
Un anonymat préservé à tout prix : Satoshi Nakamoto
On l’a dit plus haut, le bitcoin a été créé par un certain Satoshi Nakamoto. Mais qui est-ce ?
Satoshi était au début très actif dans le développement du bitcoin, et il prétendait être un japonais né le 5 avril 1975. Son objectif était clair : créer une monnaie numérique décentralisée et non contrôlée par une banque centrale.
En décembre 2010, il décide de disparaître complètement des radars. Il posséderait aujourd’hui 1 million de bitcoins acquis en minant 20 000 blocs parmi les premiers de la blockchain, ce qui en ferait la 15ème fortune mondiale aujourd’hui. Mais il ne les a jamais utilisés.
Pourquoi son anonymat est sa force ? Aujourd’hui, on ne sait pas qui est Satoshi, d’ailleurs, ça pourrait totalement être un petit groupe de personne, et pas une seule personne. En fait, en ne révélant pas son identité, Satoshi veille à ce qu’aucun individu ou groupe ne puisse exercer une influence ou un contrôle sur le Bitcoin : c’est 100% décentralisé. La moindre annonce pourrait faire varier le cours par exemple !
En prime, cela évite toute sanction juridique (notamment quand le bitcoin a été utilisé pour des fins illégales…) et permet d’appuyer l’aspect communautaire du bitcoin, où chaque décision est prise sur la base du consensus des participants.
Bon, il y a eu beaucoup de spéculation concernant son identité. Le magasine Newsweek a annoncé en 2014 avoir trouvé le vrai Satoshi Nakamoto, un retraité nippo-américain vivant à Los Angeles. Mais, à part le nom, il n’avait rien à avoir avec le bitcoin…
Certains ont aussi essayé de s’approprier la gloire, comme Craig Wright, un entrepreneur australien, mais il n’a pas convaincu… Les théories pullulent encore aujourd’hui, mais on ne saura probablement jamais qui se cache derrière ce pseudonyme !
💸 Bitcoin et Or, deux monnaies ?
Ok, maintenant qu’on en sait plus sur le bitcoin et sur ses origines, pourquoi est-il comparé à de l’or numérique ?
Depuis des millénaires, l’Or est considéré comme monnaie internationale, permettant le règlement des échanges et servant d’instrument de réserve pour les banques centrales des pays qui l’ont adopté. Plus encore, rappelons nous, mais le dollar était lui même adossé à l’or jusqu’en 1971 !
Mais le bitcoin, de son côté, peut-il être considéré comme une monnaie ? Véritable ressource rare du fait de son plafonnement à 21 millions de Bitcoin, le bitcoin est accessible à tous et sur de nombreuses plateformes d’échange. Comme l’or, le Bitcoin n’offre pas de rendement à proprement parler, mais il est dans certains cas utilisé dans des produits financiers pour en générer.
Cependant, encore aujourd’hui, de nombreuses Banques Centrales ne considèrent pas le Bitcoin comme une monnaie, à l’instar de la Banque de France qui est formelle : “Le Bitcoin n’est pas une monnaie, c’est un actif”.
Mais pourquoi ?
Tout d'abord, il faut reprendre la définition d'Aristote, l’un des premiers à proposer une description précise : La monnaie remplit trois fonctions principales, que sont (i) une unité de compte, (ii) une réserve de valeur et (iii) un instrument de transaction.
Sa forme a évolué au fil des siècles, passant de coquillages, aux matières précieuses jusqu’à des formats numérisés. Aujourd'hui, les monnaies ont un cour légal et sont imposées par les États. Pour garantir ces trois fonctions, elles reposent sur la confiance des citoyens envers leur émetteur et le cadre légal qui les régit.
Or selon les institutions actuelles, le bitcoin ne remplit pas les trois fonctions essentielles d’une monnaie :
Unité de compte : “du fait de leur très grande volatilité, les crypto-actifs ne peuvent pas servir à exprimer et à comparer de façon fiable la valeur de biens et de services courants. Dans les faits, très peu de biens ou de services ont un prix libellé en crypto-actifs”. Pour autant, argument réfutable quand on sait qu’on peut tout à faire déterminer qu’un objet vaut x bitcoins, c’était le cas pour la Pizza en 2010 qui valait 10 000 bitcoins (bien chère la pizza quand on connait le cour actuel…) ;
Réserve de valeur : “la valeur des crypto-actifs n’est pas suffisamment stable pour que celui qui en détient soit certain de conserver sa richesse dans le temps”. Bon, ça, c’est en partie vrai, car du jour au lendemain, le cours du bitcoin peut perdre énormément de valeur. Sur ce point, le bitcoin se rapproche de tout produit d’investissement boursier. Mais sur du long terme ça pourrait être contesté. Regardez le prix du Bitcoin de sa genèse à aujourd’hui, et inversement regardé la valeur d’un dollar il y a des dizaines d’années vs ce qu’il vaut aujourd’hui.
Instrument de transaction : “les crypto-actifs n’ont pas de cours légal, donc rien n’oblige les commerçants, les entreprises ou les administrations à les accepter en paiement, contrairement aux pièces et aux billets en euro qui sont les seuls moyens de paiement à avoir cours légal en France”. Alors ça, c’est vrai aussi, bien que le commerçant puisse accepter du paiement en bitcoin, il n’en est pas obligé. Mais le bitcoin est tout de même un véritable instrument d’échange, et permet d’acheter des biens et des services, et permet également d’être stocké pour être utilisé dans le futur, comme l’euro, ou le dollar.
Le Bitcoin a été créé à contrepied des monnaies traditionnelles et des systèmes de paiement imposés par les institutions bancaires, alors devrait on vraiment le comparer à la monnaie que nous connaissons ? Son créateur lui-même le définissait plutôt comme un système d’argent liquide numérique.
Ok Mojo, on y voit plus clair maintenant sur ce qu’est le bitcoin, son histoire, sa genèse, sa technologie et son utilisation en tant que “monnaie” ou produit d’investissement. Maintenant, il faut répondre à la question, est-ce de l’or numérique ?
Et pour cela, il faut se demander, quelles sont les ressemblances et les différences avec de l’or ? Comment fonctionne le système de spéculation sur le bitcoin ?
Ne soyez pas trop pressés… On répond à tout ça la semaine prochaine ! 😉
🚀 Levées de fonds de la semaine
🍪 Les pépites de la semaine
Nomupay (IR, Fintech) complète sa levée de 37 millions de dollars avec une dernière tranche de 12 millions d’euros auprès de Endeit Capital et Uneti Ventures.
Née en 2021, Nomupay est une plateforme de paiement unifiée intégrant des moyens de paiments locaux en Asie du Sud-Est, en Europe et en Turquie.
Pourquoi elle a le Mojo selon Mo ? Souvenez vous de Wirecard, une fintech allemande qui a levé des centaines de millions de dollars pour ensuite… disparaître en 2020 suite à de multiples scandales. Eh bien parfois dans le mauvais il peut y avoir du bon, car en 2023 Nomupay a été propulsé à partir de certaines licences de paiement régionales de Wirecard !
Dirigée par des têtes du paiement (anciens Ingenico, PayPal et Worldline), Nomupay se concentre sur les paiements transfrontaliers pour les commerçants d’Asie et du Moyen orient. Cette Série B lui permet d’atteindre une valorisation de 200 millions de dollars, carrément. Et tout ça, c’est grâce à son super développement: au cours de deux dernières années, la fintech a eu une croissance de revenus de tout simplement 100%. Elle devrait être rentable cette année avec un ARR de 20 millions de dollars. Cette levée lui permettra d’atteindre ces objectifs ainsi que de se développer davantage en Asie avec une extension au Japon, à Singapour, en Indonésie et au Vietnam. 🌍
AYDO (FR, Fintech) annonce une levée de fonds d’un montant non dévoilé, auprès de Digital Tech Fund (géré par Expon Capital), VAeX Capital, et des membres du Luxembourg Business Angel Network (LBAN).
AYDO est une plateforme d’investissement de produits structurés.
Pourquoi elle a le Mojo selon Jo ? Pour les particuliers, il n’a jamais été aussi facile d’investir. Trade Republic, Revolut, Robinhood, sont des exemples de plateforme à l’UX/UI ultra simplifié et qui ont permis de démocratiser l’investissement. Pour les professionnels ça doit être pareil ? Eh bah pas vraiment… Tapez “écran Bloomberg” sur internet, vous verrez sur quoi travaille la moitié des financiers du monde…
D’un autre côté, il y a une classe d’actifs qui est parfois incomprise et pourtant représentante d’un fort potentiel : les produits structurés. En France lors de l’année 2023, c’est environ 35 milliards de volume de production, ce qui représente 10% du total de tous les produits financiers.
Alors, avec des plateformes encore un peu archaïques et des produits financiers parfois complexes, comment faire si vous êtes professionnel de l’investissement ? Allez sur AYDO. La team a créé une plateforme intuitive et interactive, accompagnée d’une section éducative dédiée pour plonger dans l’univers de ces produits et ne rien louper de leur potentiel. Propositions de produits personnalisées en fonction du profil d’investisseur, agrégation auprès de +25 établissements financiers pour obtenir le meilleur prix ou encore tableau de bord agréable, sont ce que vous pourrez retrouver chez AYDO.
Avec cette levée, l’équipe s’implante au Luxembourg, un pays logique pour la suite de l’aventure. Donc hâte de voir la suite.
💸 Pour plus d’informations sur les autres levées de fonds :
FinTech : Tide (UK - 50M$) ; Nomupay (IR - 37M$) ; ThreatMark (CZ - 23M$) ; nsave (CH - 18M$) ; Pledg (FR - 8M€) ; AYDO (LX - NC)
InsurTech : on a rien vu, et vous ? 👀
ESG : FuelFWD (NL - 1M€)
Mobility : on a rien vu, et vous ? 👀
PropTech : on a rien vu, et vous ? 👀
AI : Bfore.ai (FR - 9.6M€) ; Fazeshift (US - 4M$); Advise (IR - 1.55M€)
Web3 : VOOX (SG - 50M$) ; SoSoValue (NC - 15M$) ; Alpen Labs (NC - 8.5M$) ; Token Metrics (NC - 8.5M$) ; Jan3 (NC - 5M$) ; SuperSeed (NC - 4.5M$) ; Bluechip (US - 1M$) ; Aligned Layer (NC - 1M$) ; YIEDL (NC - 735K$)
🏦 Et les acquisitions dans tout ça ?
Backpack Exchange, une société de trading de crypto basée en Allemagne, rachète la branche européenne du tristement célèbre FTX.
Bamboo Rose annonce l’acquisition de la startup française Verteego, un agent AI à destination des acteurs du retail.
SBI Holdings acquiert 70% de la fintech allemande Solaris, acteur du BaaS.
ClearScore fait l’acquisition de la startup anglaise Aro Finance Limited pour créer un géant de la finance embarquée.
🤫Shhhh. Les Hot News de l’écosystème !
Comment ça se passe du côté des Banques ?
Les lauréats de la 14e édition des Argus de l’Innovation Mutualiste et Paritaire.
Et les fonds d’investissements ?
Defiant un nouveau fonds de VC en phase d’amorçage, axée sur le SaaS B2B et la FinTech, basé à Londres et à Lisbonne, a déjà obtenu 30 millions de dollars et prévoit de lever jusqu'à 70 millions de dollars pour ce premier fonds. Defiant prévoit d'investir dans des startups au stade de Late Seed ou Series A. en Lead ou Co-Lead, avec des tickets entre 1 et 10 millions de dollars par opération.
Superhero Capital, un fonds finlandais annonce le closing de son quatrième fonds dédié aux startups early stage de Finlande et des blatiques.
Le fonds Smartfin annonce un closing de 250 millions d’euros pour financer en growth des innovations B2B tech européennes.
Le plus important, que disent nos start-ups ?
Trade Republic annonce son installation en tant qu'établissement bancaire en France et permet désormais à ses clients français d’avoir un compte courant et un plan d’épargne en actions (PEA).
X (ex-twitter) va lancer son produit fintech X Money en 2025.
Quelques tendances pour imaginer le futur
CES 2025 : 110 startups françaises à la conquête de Las Vegas.
Fintech : La France poursuit sa percée en Europe.
Crypto, gaming, réseaux sociaux : Les tendances du Web 3 à horizon 2030.
Blackfin Tech publie ses prédictions pour 2025, et Mojo en fait partie !
French Tech: la baisse tant redoutée des sorties en 2024 par Les Echos. 2024 était aussi l’année des défaillances startups (+66k selon le décompte provisoire du Groupe BPCE).
🎁 Bonus News
Nos yeux de lynx ont loupé quelques actualités la semaine dernière…
Wefox lève 170 millions d’euros (avec entre 80 et 100 millions d’euros) en equity auprès de Searchlight Capital.
Fincrime Dynamics lève un seed auprès d’Oxford Capital.
C’est tout pour cette semaine…. Enfin… On verra la semaine prochaine ! 🫣
Evènement à venir
Incubateur ESSEC – Appel à candidatures. Jusqu’au 15 janvier.
Insurnight - Les tendances actuelles de l'Assurance en 2025. Le 15 janvier.
CFO Day 2025 par France Digitale. Le 15 janvier.
Data-Driven VC Hackathon par Red River West et BivwAk!. Le 15 et 16 janvier.
Comment déployer l’intelligence artificielle dans les services financiers ? Le 15 janvier.
Innest – Appel à candidatures. Jusqu’au 19 janvier 2025.
AWIC x SG Forge Challenge : An Exceptional Opportunity for Women in Web3, Blockchain, and Crypto. Candidatures jusqu’au 24 janvier 2025.
Innovation Assurance 2025 - Accélération Data & IA : Impact sur les modèles et les services. Le 30 janvier.
EU Startup Summit 2025 – Appel à candidature pour la compétition de pitch – Jusqu’au 31 janvier 2025.
Journée confiance numérique - intelligence artificielle et son impact sur la chaîne de confiance numérique. Le 6 février.
Appel à candidature - European Startup Prize for Mobility. Jusqu’au 7 février 2025.
Appel à candidatures - Prix Next Innov. Jusqu’au 11 avril 2025.
Quelques autres trucs cool !
Décryptage des augmentations de capital de Mistral AI par Etienne Krieger, professeur à HEC Paris.
Salaires aux États-Unis : Ce que les fondateurs français doivent savoir avant de s’implanter.
Investissement à impact : remettre le social au cœur, avec Jonathan Piquet - Partner chez Citizen Capital.
574 Invest publie un mapping des solutions applicatives IA pour les corporates.
Sifted publie le top 100 des sociétés B2B SaaS.
Nvidia annonce le lancement de Project Digits, un super ordinateur boosté par l’IA.
Panorama des acteurs des crypto payments, par France Payments Forum.
Kosmio publie un mapping de l’écosystème des solutions carbones.
Ternel publie un mapping des solutions d'adaptation et résilience au Climat.
Merci d’avoir lu cette newsletter jusqu’au bout ! ❤️
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