💰 Le crowdfunding, bonne ou mauvaise idée ? (Partie 1)
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What’s on the menu this week ?
🔮 Décryptage : Le crowdfunding, bonne ou mauvaise idée ? (Partie 1) 💰
🚀 Levées de fonds de la semaine : +319 millions d’euros levés cette semaine par nos pépites du Future de la Banque et de la Finance. Et selon nous, Kenko et Partior ont vraiment le Mojo !
🏦 Et les acquisitions dans tout ça ? Zoom sur les principales acquisitions start-ups de l’écosystème.
🤫Shhhh. Les Hot News de l’écosystème ! Une sélection réalisée aux petits oignons des nouveaux partenariats bancaires/start-ups, closing de fonds, actualités start-ups…
🎁 Bonus News : un mélange d’actualités manquées, évènements à venir, sélection de mappings… tout y passe !
🔮 Décryptage
Le crowdfunding, bonne ou mauvaise idée ? (Partie 1)💰
Depuis plusieurs mois, les campagnes de crowdfunding se multiplient pour les start-ups. Pourtant, ce concept est bien loin d’être nouveau !
Et puis surtout, on met un peu tout et n’importe quoi derrière ce terme.
Déjà Mojo, dites-nous, le crowdfunding, c’est quoi ?
Le crowdfunding, ça veux littéralement dire financement (funding) par la foule (crowd), ou plutôt, financement participatif. En fait, pour faire simple, c’est un mécanisme qui permet à un porteur de projet de collecter des fonds, auprès d’un grand nombre de personnes, individuels ou entreprises, sur une plateforme en ligne. Ce mode de financement est une alternative à tout autre type de financement traditionnel (Banque, Business Angel, Fonds d’investissement), et surtout, il a le mérite d’être très simple : on publie notre projet sur une plateforme en ligne, on y ajoute une description, on définit les critères (objectif de financement, type de financement, pourcentage d’ouverture du capital, contreparties à l’investissement) et on lance la campagne !
Et comme on le disait, le crowdfunding, c’est loin d’être nouveau. D’ailleurs, le premier projet en financement participatif remonterait au 18ème siècle, où Joseph Pulitzer, patron de la presse, aurait passé un appel de fonds pour financer le piédestal de la Statue de la Liberté (Mojo ça !). Bon, à l’époque, il n’y avait ni plateforme en ligne, ni internet, alors il est passé par un bon vieux journal ! 📰
Ce concept a surtout explosé dans les années 2000 à 2010, notamment suite au passage des disques aux téléchargements pour l’industrie musicale. De nombreux artistes ont réalisé des campagnes de financement participatif, pour financer leurs tournées ou leurs albums. Les premières plateformes ont donc été créées et en France, par exemple, la première plateforme de crowdfunding fut MyMajorCompany, qui était destinée à financer les projets artistiques auprès de leur public.
Côté Mojo, la première fois qu’on a entendu parler de ce terme, c’est avec KissKissBankBank. Lancée en 2009, la plateforme est pratiquement pionnière du financement comme on le connaît, depuis sa création, c’est 171 millions d’euros collectés, plus de 29 000 projets financés auprès de 3 millions de membres et un taux de réussite de 72%.
Les différents types de financements participatifs
Mais derrière crowdfunding, on entend pleins de choses différentes. En fait, il y a de nombreuses façons de financer un projet, une entreprise, ou un individuel :
Le don : tout simplement. Il s’agit simplement de donner de l’argent pour soutenir le plus souvent une association. Le don peut être réalisé en échange d’une contrepartie. Prenons l’exemple de ce projet publié sur KissKissBankBank : l’association Vendanges Solidaires a réalisé en 2018 une campagne de financement pour aider les vignerons à continuer leurs exploitations et faire face aux désastres liés au changement climatique. Pour 35€ de don, l’association offrait en contrepartie un t-shirt de l’association, et quelques stickers, ce qui lui a permis de récolter plus de 50 000€ auprès de 300 personnes ! Le don peut également être réalisé sans contrepartie, auprès d’une association, d’un organisme d’utilité publique ou d’intérêt général. A vrai dire, il y a une petite contrepartie fiscale, avec des réductions sur l’impôt sur le revenu pour les particuliers ou sur l’impôt sur les sociétés pour les personnes morales. 🤫
Le prêt, ou “crowdlending” : le prêt peut être fait, avec ou sans intérêt. D’ailleurs, la loi française permet aux particuliers de prêter avec intérêt, avec des conditions : l’emprunteur ne peut pas lever plus de 5 millions d’euros par projet, le prêteur particulier ne peut pas prêter plus de 2 000€ pour un prêt rémunéré et 5 000€ pour un prêt sans intérêt, et la durée du prêt ne peut pas excéder 7 ans. Il existe aussi des “minibonds”, des titres réservés au financement participatif, d’une durée maximum de 5 ans et remboursables à une date fixe et des prêts dits “Peer to Peer”, où un particulier voit son épargne répartie entre plusieurs emprunteurs.
La prise d’une part du capital, ou “crowdequity” : ce type de financement est le plus à la mode en 2024. C’est tout simplement la possibilité pour un particulier ou une entreprise d’investir un petit ticket pour financer un projet, en contrepartie d’une part du capital, matérialisée par l’achat d’actions. Le crowdequity, est particulièrement dédié au financement de projets entrepreneuriaux innovants. Récemment, des startups, désormais au stade de scale-ups se sont également vu ouvrir leur capital aux particuliers, comme par exemple Vestiaire Collective. Depuis sa création en 2009, Vestiaire Collective a levé plus de 550 millions d’euros auprès notamment de Eurazeo, Kering, Bpifrance et Goldman Sachs, pour sa plateforme de vente d’article de luxe en seconde main, lui permettant d’acquérir le statut de licorne en 2021. En février 2024, l’entreprise a lancé une campagne Crowdcube, permettant à tout particulier de devenir actionnaire de la société, et en quelques semaines, 3,6 millions d’euros ont été levés auprès de 3 267 investisseurs !
Les différents types de plateformes
Maintenant que l’on sait les différents types de financement que l’on peut octroyer, entre dons, achat d’action ou prêt, qu’est-ce qu’on finance concrètement ?
Les campagnes de crowdfunding peuvent permettre de financer :
Des particuliers : eh oui, vous et moi, on peut lancer une campagne de crowdfunding pour récolter des fonds par exemple, pour financer notre prochain voyage en Albanie. ✈️ Plus sérieusement, ces campagnes sont souvent lancées pour soutenir des personnes atteintes de maladies, des familles victimes de drames dans des pays en guerre et des populations faisant face à des catastrophes naturelles. Le modèle de financement le plus utilisé pour le financement des particuliers reste le don. La plateforme GoFundMe est leader sur le marché, et a permis de récolter plus de 5 milliards d’euros depuis sa création… Mojo 🤝
Des projets plus “industriels” : certains projets ont besoin de beaucoup de fonds pour être mis en place, comme par exemple les projets de développement des énergies renouvelables. Des plateformes comme Enerfip, Lendopolis ou Lumo permettent d’investir dans des projets de développement de centrales solaires ou l’installation de panneaux photovoltaïques, pour des rendements jusqu’à 8% ! Les investisseurs peuvent être des particuliers, ou même des entreprises qui cherchent à diversifier leur financement et leur risque associé. En termes de modèle de financement participatif, pour ce types de projets, on retrouve le plus souvent du crowdlending.
Des associations : on en a parlé plus haut, mais les associations vivent grâce aux dons et au financement participatif, que ce soit en ligne ou pas. Des plateformes comme HelloAsso permettent à des particuliers de trouver des projets associatifs pour lesquels s’engager.
Des entreprises : enfin, les entreprises ont également besoin de se financer, notamment les start-ups ! Et elles vont pouvoir faire des levées de fonds auprès de particuliers ou personnes morales, qui pourront faire des investissements en equity ou sous forme de prêts. Les plateformes les plus tendances pour financer des startups sont Sowefund et Blast (qui a un modèle bien à elle !) par exemple.
Mais c’est pas fini (quoi, il y a encore d’autres types de plateformes ?). Bah en fait, ces plateformes peuvent être :
Généralistes : c’est à dire qu’elles peuvent traiter tous types de projets, et tous types de financement. Bon, c’est assez rare une plateforme qui propose de TOUT. Mais par exemple, on en parlait plus haut, KissKissBankBank permet de financer des entreprises, des produits et projets de tous secteurs, de la culture à l’artisanat en passant par l’alimentation et l’agriculture.
Spécialisée : les plateformes peuvent aussi être spécialisées par thématique, comme par exemple Lita.co et Tudigo qui ont pris le pas de se dédier au financement de projet à impact, par type de projet comme Lendopolis, Lumo et Enerfip dont on parlait plus haut sur les énergies renouvelables, ou par type de financement comme Sowefund sur l’Equity, GoFundMe sur le don ou WeShareBonds sur le Lending.
Vous allez nous dire, avec toutes ces plateformes, le marché du crowdfunding doit se porter à merveille ! Mais alors comment se porte le marché du financement participatif ? Est-ce une bonne ou une mauvaise idée de passer par ce type de financement ? Quelles sont les plateformes qui ont le Mojo ?
Pour avoir la réponse à ces questions, il faudra attendre la semaine prochaine…⏳🙇🏻
🍪 Les pépites de la semaine
Kenko (FR, Insurtech) annonce l’extension de son seed à 2.5 millions d’euros auprès de Business Angels.
Créée en 2022, Kenko propose une « mutuelle à la carte », soit une mutuelle qui s’adapte aux besoins de chaque salarié, bâtie sur mesure et avec des remboursements adaptés à ses besoins.
Pourquoi elle a le Mojo selon Mo ? En seulement 2 ans, Kenko compte 15 employés et accompagne 150 entreprises de 20 à 2000 salariés. En effet, le créneau de ce néo-courtier, c’est d’accompagner les PME et ETI françaises et ses salariés. A l’inscription, le salarié choisit une dominante de santé dans laquelle il sera remboursé avec un tarif avantageux : médecine, dentaire, optique ou mixte, tout est possible. Grâce à cela, le salarié va faire des économies, et devinez quoi ? 80% des économies reviennent aux assurés via une cagnotte santé et bien-être !
Kenko est basé sur 3 pilliers : rendre les soins plus accessibles, accompagner chaque personne dans son parcours de santé et soutenir humainement chacun dans ses moments de vie. Pour cela, Kenko développera grâce à cette levée une plateforme de services liés à la santé, au pouvoir d’achat et à la prévention, en plus de plateformes déjà proposées (Mapatho pour le parcours de soin de maladies chroniques ou Happypal, une plateforme d’avantages avec des réductions sur le sport, la santé, le bien-être et le divertissement). Un positionnement humain qui rend cette jeune pousse unique sur le marché, et ça nous, on dit Mojo !
Partior (SG, Fintech) annonce une levée de fonds de 60 millions de dollars, auprès de Peak XV Partners, Standard Chartered, Jump Capital, Valor Capital Partners, Deutsche Bank, Temasek Holdings et JP Morgan Chase
Partior est une société qui vise à réduire les frictions dans les paiements transfrontaliers, le commerce et le règlement des devises, en fournissant aux institutionnels du secteur bancaire des services de compensation et de règlement numériques.
Pourquoi elle a le Mojo selon Jo ? De temps en temps, on se permet de vous mentionner des levées de fonds de startups qui sont hors Europe, parce qu’on trouve qu’elles ont vraiment le Mojo. Et Partior en fait partie.
En fait, l’entreprise veut transformer les infrastructures de finance de marché. Rien que ça.
Ce n’est pas une mince à faire, donc il faut qu’elle ait les reins solides, mais cela semble être le cas, puisque comme vous l’avez vu plus haut, certains des investisseurs sont des banques internationales de renom ! Elles vont donc clairement participer au développement du projet, utiliser la solution et apporter une expertise, du conseil et des ressources qui seront grandement utiles pour mener à bien ce projet.Comment elle compte s’y prendre du coup ? Eh bien Partior utilise la technologie de la blockchain pour traiter des paiements internationaux entre banques et institutions financières en quasi instantané. Choses qui prennent des jours à être exécutées aujourd’hui !
Vous le savez désormais, chez Mojo, nous sommes convaincus du potentiel de la blockchain, et quand on voit des projets d’ampleur comme celui-là on est impatients de voir ce que nous réserve le futur. Bon il y a de la concurrence par contre, et les banques se placent toutes d’une manière ou d’une autre sur le créneau. JP Morgan développe ses propres infrastructures blockchain. Fnality est une startup qui a levé plus de 215 millions d’euros auprès de Banco Santander, Commerzbank, ING, Nasdaq, UBS, et pleins d’autres banques internationales. Et il y a plein d’autres projets très solides qui nous donnent le Mojo mais on vous en reparlera.
💸 Pour plus d’informations sur les autres levées de fonds :
FinTech : Partior (Singapour – 60M$) ; Instinct Digital (UK – 5M€) ; Wamo (UK – 5M$) ; Accend (USA – 3.2M$) ; Mifundo (EE – 2.5M€) ; Jeff App (LV – 2M$)
InsurTech : Kenko (FR – 2.5M€)
ESG : LevelTen (USA – 65M$) ; Naked Energy (UK – 15.5M€) ; Dynelectro (DK – 11M€) ; Varm (DE – 5.7M€)
Mobility : Solus Power (UK – 26M€) ; Zeti (UK – 5.9M€)
PropTech : on a rien vu, et vous ? 👀
IA : Fireworks (USA – 52M$) ; Leya (SW – 25M$) ; Legalfly (BE – 15M€) ; Xapien (UK – 10M$) ; Presti (FR – 3.5M$)
🏦 Et les acquisitions dans tout ça ?
Google serait en négociation pour acquérir la startup Wiz, start-up israélienne de cybersécurité, pour 23 milliards de dollars, ce qui en ferait sa plus grosse acquisition.
Nvidia annonce l’acquisition de la plateforme de développement AI Brev.
Meridien, entreprise américaine, fait acquisition de 27% de DKK Partners, une fintech basée à Londres qui propose une plateforme qui donne accès aux devises du G10 et des marchés frontières sans avoir besoin d’un intermédiaire de banque centrale.
Ardian et Crédit Agricole Assurances cèdent leur participation dans 2i Aeroporti à Asterion.
🤫Shhhh. Les Hot News de l’écosystème !
Comment ça se passe du côté des Banques ?
Après avoir lancé son « ChatGPT » maison, Axa veut accélérer sur l’IA et lance stratégie dédiée. Nom de code : Nadia (Nouvelle ambition data et IA).
BNP Paribas signe un partenariat avec la fintech Ant International, afin de faciliter les paiements transfrontaliers en Europe.
Goldman Sachs publie ses résultats et double son bénéfice au deuxième trimestre de l’année.
Pour la première fois en dix ans, les effectifs des banques repartent à la hausse en France.
Cetelem (BNP Paribas) et mobile.club s'associent pour promouvoir la location de smartphones reconditionnés.
Et les fonds d’investissements ?
13books Capital clôture un nouveau fonds de 144 millions d’euros pour investir dans des FinTechs de la Seed à la Serie A.
Le fonds early-stage Kearny Jackson Fund III annonce un closing de 65 millions de dollars pour investir dans des startups B2B SaaS et infrastructure (dont Fintech).
Le fonds néerlandais Marktlink Capital annonce le closing de son second véhicule de fonds de fonds, pour 80 millions d’euros.
Polytechnique Ventures lance la levée de son deuxième fonds, 4 ans après sa création.
Primo Ventures, un fonds de VC italien, lance un fonds de 60 millions d’euros, spécialisé sur les ClimateTech early stage.
Le plus important, que disent nos start-ups ?
Paymium devient la première place de marché à permettre l’achat et la vente du stablecoin euro EURCV avec du Bitcoin (BTC).
Monzo Bank lance les comptes gratuits pour les moins de 16 ans.
Doctolib publie ses revenus et aurait dépassé la barre des 300 millions de revenus récurrents annualisés (Mojo ça !)
Quelques tendances pour imaginer le futur
France FinTech a sorti son bilan semestriel sur les FinTechs Françaises. Il tombe à pique pour compléter notre Décryptage de la semaine dernière :
EY publie le baromètre du capital risque en France pour le premier semestre 2024.
🎁 Bonus News
Nos yeux de lynx ont loupé quelques actualités la semaine dernière…
La startup Fipto a intégré le stablecoin EURCV de SG-FORGE
Trustpap, une solution d’infrastructure de paiement basée en Irlande, a levé une Serie A de 5.1 millions d’euros auprès de TX Ventures, SeedX, Partners Resolute, Aperture, MiddleGame Ventures, Act, Atlantic Bridge et FurthrVC.
Enzo, une solution d’assurance spécialisée dans les dégâts des eaux, a levé un tour de Seed de 2.3 millions d’euros auprès de 2bx, Styx Urban Investments, Snabb Capital VC et de business angels.
Satoshi Protocol, un stablecoin collatéralisé par du Bitcoin, a levé 1.86 millions d’euros en Seed auprès de CMS Holdings, RockTree Capital et d’autres VCs.
La plateforme d’investissement crowdfunding Seedrs devient officiellement Republic Europe.
IDnow a présenté deux nouveaux produits de signature électronique. InstantSign accélère les processus de signature avec une identité réutilisable, et eID eSign qui permet la vérification de l’identité et la signature numérique à l’aide de la technologie NFC.
Defacto a été sélectionné pour le NVIDIA Inception programme afin d’accélerer sur leur modèle d’IA.
Younited et Aramisauto s’associent pour déployer une offre de crédit instantané à destination des particuliers.
C’est tout pour cette semaine…. Enfin… On verra la semaine prochaine ! 🫣
Evènement à venir
Appel à candidature pour être accompagné chez Urban Odyssey le startup studio dédié à la ville de demain. De juin à septembre 2024.
Appel à projets pour gagner un chèque de 100 000€ pour développer sa start-up et un accompagnement de 12 mois auprès de The Quest. Jusqu’au 31 juillet.
Block Dojo, un venture studio Web3 basé aux UK ouvre sers candidature pour son prochain batch. Jusqu’au 1er août 2024.
Appel à candidature pour le programme d’accélération AI Startup Program par Meta, Hugging Face et Scaleway. Jusqu’au 16 août 2024.
UeAM 2024 | La technologie au service des investisseurs et des gérants ? Le 29 août 2024.
Surfin’Bitcoin. Du 28 au 30 août.
Appel à candidature pour participer au Demoday dédié aux start-ups de l’IA par WAI by BNP Paribas. Jusqu’au 15 septembre.
Appel à candidature – Statut étudiant entrepreneur. Jusqu’au 30 septembre.
Quelques autres trucs cool !
eToro renforce sa présence dans l’écosystème fintech italien et européen grâce à une nouvelle collaboration avec SDA Bocconi.
La Financial Conduct Authority et le régulateur des systèmes de paiement sollicitent des avis sur les avantages et les risques des portefeuilles numériques tels qu’Apple Pay, Google Pay et PayPal, et évalueront leur impact sur la concurrence et les options de paiement lors du paiement.
NatWest lance une application bancaire sur le Apple Vision Pro.
Sopra Steria lance un concours international étudiante pour lancer des projets plus responsables et durables, basé sur l’IA.
Bouygues Telecom Entreprises et Sweep collaborent pour accompagner les entreprises dans la décarbonation.
Mapping des Scribes B2B et B2C par Andreessen Horowitz.
Le fonds de VC londonien Frontline Ventures a sorti un guide pour les fondateurs de startups européennes, pour s’étendre aux Etats-Unis.
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