🏡 Peut-on encore devenir propriétaire ? (Partie 2)
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What’s on the menu this week ?
🔮 Décryptage : Peut-on encore devenir propriétaire ? (Partie 2)
🚀 Levées de fonds de la semaine : +565 millions d’euros levés cette semaine par nos pépites du Future de la Banque et de la Finance. Et selon nous, Akur8 et The Open Network ont vraiment le Mojo !
🏦 Et les acquisitions dans tout ça ? Zoom sur les principales acquisitions start-ups de l’écosystème.
🤫Shhhh. Les Hot News de l’écosystème ! Une sélection réalisée aux petits oignons des nouveaux partenariats bancaires/start-ups, closing de fonds, actualités start-ups…
🎁 Bonus News : un mélange d’actualités manquées, évènements à venir, sélection de mappings… tout y passe !
🔮 Décryptage
Peut-on encore devenir propriétaire ? (Partie 2)
La semaine dernière, vous avez découvert qu’il y a de nombreuses solutions innovantes pour financer votre bien immobilier et vous donner plus de chances de devenir propriétaire.
Mais l’immobilier, ce n’est pas QUE acheter sa résidence principale.
Dans cette deuxième partie, nous allons donc voir comment devenir propriétaire d’un bien (ou d’une partie 👀) sans que ce soit sa résidence principale.
Mais avant de commencer, si vous avez loupé la première partie, on vous conseille vivement d’aller la lire, pour que les PropTech qui facilitent l’accès à la propriété n’aient plus de secret pour vous ! 👇
L’investissement locatif
Rien de nouveau sous le soleil Mojo…
Minute papillon.
Devenir propriétaire de sa résidence principale c’est bien, mais il y a des régions de France où il vaut mieux être locataire que propriétaire, car le coût à l’année (remboursement du prêt, charges de copro, assurances, taxe foncière, etc) est supérieur au montant que vous payeriez dans un logement en location. C’est à prendre avec des pincettes, mais le tableau ci-dessous, partagé par le Figaro, montre la différence pour un appartement de 65m2 :
Une fois qu’on a dit tout cela, il est peut être intéressant de ne pas acheter sa résidence principale mais faire de l’investissement locatif !
Vous n’êtes sans doute pas tous des professionnels de l’immobilier, donc pas facile de faire une bonne affaire. Et vous n’avez sans doute pas le temps de faire des recherches, des visites, des travaux, etc.
C’est là qu’interviennent les startups en stratégie d’investissement locatif. Il y a le tristement célèbre Masteos qui faisait partie de cette catégorie que vous connaissez probablement, mais il y a de nombreuses autres solutions très cool, comme Bevouac, Beanstock, myVesta, Little Worker, ou encore brickmeup.
Le fractionnement immobilier
L’investissement immobilier fractionné vous permet de devenir un investisseur immobilier, grâce au “découpage” des biens immobiliers en parts.
Par exemple, un appartement dont la valeur est de 100 000€, est divisé en 10 000 parts, ce qui permet d’investir sur une part ou plusieurs parts, à partir de 10€. L’avantage c’est bien entendu l’accessibilité, et au même titre qu’un investissement en nom propre, le fractionnement procure des droits aux détenteurs de parts, comme le droit à percevoir les loyers du bien mis en location.
Le fractionnement immobilier est aussi communément appelé crowdfunding immobilier, car il fait appel à l’épargne des particulier, mais nous le verrons plus bas, cette catégorie peut être à part entère.
Pour fractionner les biens, il y a deux méthodes principales :
l’émission d’obligations, c’est généralement plus simple à mettre en place et la fiscalité est plus avantageuse.
la structuration d’un Special Purpose Vehicule (SPV), soit le fait de créer une société dédiée, et fractionner en actions. C’est plus risqué et plus coûteux à mettre en place, mais les particuliers ont tendance à préférer ce statut “d’associé” dans le projet.
L’acteur qui a mis en lumière ce concept est Brics.co, mais le marché est très dense désormais, avec des acteurs comme Tantiem, Blocshare, Bloks, Buildr, Wally, Streal et Goodcity.
Tokenization immobilière
La tokenization immobilière repose sur le même principe que le fractionnement immobilier, à la seule différence que les parts qui représente l’actif, sont émise sur une blockchain sous la forme d’un token (jeton numérique). Les avantages de la tokenization sont nombreux, mais nous vous en reparlerons dans une prochaine newsletter. En attendant, si vous voulez déjà comprendre ce qu’est une blockchain, nous vous renvoyons vers notre newsletter dédiée :
Crowdfunding
Le crowdfunding immobilier c’est du financement participatif mais pour de l’immobilier.
Rien de sorcier jusque là.
D’ailleurs, là encore on a fait un décryptage sur le crowdfunding :
Le concept, c’est que des particuliers puissent prêter leur argent à un promoteur immobilier, un marchand de bien ou une autre entreprise professionnelle de l’immobilier, qui a besoin de fonds pour financer un projet. En échange de l’argent prêté (et si tout se passe bien), les investisseurs vont recevoir un montant supérieur à ce qu’ils ont alloué, puisqu’ils recevront des intérêts. Les plateforme de crowdfunding immobilier que l’on peut retrouver en France sont Anaxago, Homunity, Tokimo, Lymo, WiSEED, Fundimmo ou encore ClubFunding.
Les société civile de placement immobilier (SCPI)
Investir dans un bien à partir de quelques dizaines ou centaines d’euros c’est cool. Mais là encore vous n’êtes peut être pas experts et faire confiance à une plateforme sur un projet spécifique peut être risqué.
Et comme tout bon investisseur qui veut maximiser les rendements tout en limitant les risques, il faut DIVERSIFIER.
Pour s’exposer à l’investissement immobilier, sans mettre tous les œufs dans le même panier, une des solution est d’investir dans une SCPI. Le problème c’est que les tickets d’entrée peuvent être élevés (et puis pas toujours facile de comprendre ce qui se cache derrière, les frais qui sont imputés, en fait il y a pas mal de freins).
Pour dépoussiérer ce produit des startups comme Iroko et Louve Invest ont été lancées.
L’achat à plusieurs
Devenir propriétaire n’est pour le moment pas accessible pour vous ?
Investir dans l’immobilier à travers des produits financiers ça ne vous dit trop rien car vous préférer du tangible ?
Dans ce cas achetez à plusieurs !
La solution Prello vous permet d’acheter votre résidence secondaire, seul ou à plusieurs. Vous êtes investisseurs aux côtés de 7 autres personnes maximum, et vous pouvez profiter du bien selon un calendrier défini et recevoir les loyers de la location quand vous n’y êtes pas.
Imaginez une maison avec piscine à 400 000€. Vous investissez 50 000€ avec 7 autres investisseurs. Vous pouvez donc faire plouf-plouf dans la piscine jusqu’à 44 jours dans l’année ou la mettre en location durant cette période pour recevoir des loyers.
Vous connaissez d’autres solutions pour accéder à la propriété ? Ou vous êtes une startup que l’on a omis de mentionner ?
🚀 Levées de fonds de la semaine
🍪 Les pépites de la semaine
Akur8 (Insurtech, FR) lève 120 millions de dollars en Série C auprès de One Peak, Partners Group et de son investisseur historique Guidewire Software.
Fondée en 2019, Akur8 propose un moteur de tarification d’assurances, à destination des actuaires. Akur8 se focalise sur les assureurs P&C (Property-casualty business, l’équivalent français étant l’IARD : incendies, accidents et risques divers) et santé.
Pourquoi elle a le Mojo selon Mo ? Deux semaines après l’annonce de son acquisition de Arius, une solution primée de gestion des réserves, Akur8 lève une giga Série C, atteignant 180 millions de dollars levés depuis sa création.
Pour un assureur, optimiser le pricing de ses polices d’assurances est primordial. Une solution comme akur8, boostée par l’IA, leur permet d’accélérer leurs capacités analytiques avec des analyses plus poussées des polices, et d’améliorer la structure de pricing tout en générant des gains financiers et en ciblant mieux les assurés.
La plateforme est déjà utilisée par plus de 250 clients dans plus de 40 pays, avec des acteurs comme AXA, Generali, Munich Re et Tokio Marine. Grâce à cette levée, Akur8 souhaite s’internationaliser davantage avec pour objectif : l’Amérique du nord. Akur8 prévoit également d’enrichir son offre avec deux nouveaux produits :
Optim : qui permet aux assureurs d’optimiser leur stratégie tarifaire pour répondre à leurs objectifs commerciaux.
Deploy, moteur de tarification permettant aux équipes de production de mettre en œuvre leurs tarifs de manière fluide.
Akur8 a tout d’une future licorne, non ? En tout cas, on a hâte de suivre son évolution chez Mojo !
The Open Network (Web3, AE) lève 30 millions de dollars auprès de Bitget et Foresight Ventures.
The Open Network est une blockchain Layer 1 fortement connectée à l’application Telegram.
Pourquoi elle a le Mojo selon Jo ? Vous avez sans doute entendu parler de Pavel Durov, souvent surnommé le "Mark Zuckerberg russe". Il est le créateur de Telegram et en ce moment il est sous le feux des projecteurs, pour avoir refusé de collaborer avec l’Etat français concernant des contenus criminels qui surviendrait sur Telegram.
À l'origine une simple application de messagerie, Telegram a su se réinventer en intégrant des fonctionnalités liées à la blockchain, notamment avec le projet TON (Telegram Open Network). La vie privée a toujours été au cœur du projet, avec des fonctionnalités telles que le chiffrement de bout en bout et les discussions secrètes. Mais face à l'absence d'une infrastructure blockchain capable de supporter sa base d'utilisateurs (+900M), Telegram a décidé de lancer son propre projet blockchain en 2017. Le TON visait à créer une plateforme décentralisée, rapide et scalable, capable de traiter des millions de transactions par seconde.
Le succès de la blockchain TON est impressionnant, avec le $TON qui est le 10ème token le plus capitalisé de l’écosystème crypto, et c’est notamment grâce à son intégration native avec Telegram. Les utilisateurs peuvent interagir avec la blockchain directement dans l'application. Cela simplifie considérablement l'accès aux fonctionnalités blockchain, rendant l'écosystème crypto plus accessible à un public non technique. L'intégration de TON dans Telegram permet aux utilisateurs d'envoyer et de recevoir des cryptomonnaies aussi facilement que d'envoyer un message. Cela ouvre la voie à une multitude d'applications, allant des services financiers à la création de NFT et de jeux intégrés.
💸 Pour plus d’informations sur les autres levées de fonds :
FinTech : Yonder (UK – 28M€) ; Savr (SW – NC) ; Nopillo (FR – 4M€)
ESG : Datamaran (UK – 33M$) ; Nomad Solar Energy (SP – 15M€) ; Phlair (DE – 12M€) ; Smalt (DE – 8M€) ; Zevero (UK – 7M$) ; Bohr Energie (FR – 4M€) ; Carbonfuture (GE – NC)
PropTech : Zelok (FR – 3M€) ; My Digital Buildings (FR – 1.2M€) ; CAD.42 (FR – 1M€)
Web3 : The Open Network (AE – 30M$) ; Hemi Labs (USA - 15M$) ; TrueX (USA – 9M$) ; Infinit (NC – 6M$) ; Octra (4M$) ; Bool network (HK – 2M$)
🏦 Et les acquisitions dans tout ça ?
Le groupe BPCE fait l’acquisition de la FinTech IPaidThat, spécialiste de la facturation et gestion financière des TPE/PME.
L’application de gestion financière mobile suisse Woolsocks, a acquis l’agence de données et d’insights Hiiper, conçue pour aider les détaillants, les marques et les annonceurs à prendre des décisions basées sur les données d’achat et les données des consommateurs.
Seaya Andromedia, un fonds paneuropéen Climate Tech de 300 millions d’euros, acquiert une part majoritaire de 70% dans la startup Zyclora/Bike Occasion, offrant des services de reconditionnement de vélos.
🤫Shhhh. Les Hot News de l’écosystème !
Comment ça se passe du côté des Banques ?
Unicredit attendrait l’approbation de la Banque Centrale Européenne pour acheter jusqu’à 30% du capital de Commerzbank.
La deuxième plus grande institution financière d’Allemagne, DZ Bank, s’est associée à Boerse Stuttgart Digital pour fournir aux clients des services de trading et de conservation de crypto-monnaies à son réseau de banques coopératives.
5 banques françaises créent une solution d’authentification pour le e-commerce : BNP Paribas, Groupe BPCE, Crédit Agricole, Crédit Mutuel et Société Générale.
BNP Paribas s’appuie sur Mistral AI et Giskard pour migrer le chatbot classique de sa banque en ligne Hello Bank vers une IA générative.
Les banques en ligne annoncent leur résultat : BoursoBank a connu une croissance fulgurante de son PNB. Seules Fortuneo et BoursoBank sont rentables.
Et les fonds d’investissements ?
Capmont Technology, une société de capital-risque spécialisée dans les startups technologiques B2B en Europe et aux États-Unis, a annoncé un nouveau fonds de 100 millions d’euros destiné aux entreprises technologiques en phase d’amorçage. Ce nouveau capital porte le total des levées de fonds de l’entreprise à 300 millions d’euros depuis sa création en 2016 (anciennement DI Technology).
Airbus Ventures annonce le closing de son quatrième fonds pour 155 millions de dollars, focus sur les deeptech.
Salesforce Ventures annonce un nouveau véhicule d’investissement dédié à l’IA de 500 millions de dollars, ce qui augmente leur commitment à 1 milliards de dollars pour l’IA en 18 mois.
Headline annonce un closing de 865 millions de dollars pour investir en Growth en Amérique du Nord et Europe.
Bpifrance lance un nouveau fonds de fonds destiné aux particuliers, qui leur permet d’investir dès 500 euros.
Le plus important, que disent nos start-ups ?
La startup irlandaise ID-Pal, et la londonienne CLOWD9, annoncent leur partenariat visant à améliorer les processus de vérification d’identité dans le traitement des paiements, en offrant la technologie alimentée par l’IA d’ID-Pal dans le cadre du portefeuille de solutions de paiement innovantes de CLOWD9.
Payrails, une plateforme allemande de services de paiement, s’est associée à PUMA pour collaborer à l’optimisation de l’expérience d’achat en ligne de la marque pour ses clients.
Qonto lance une offre d’assurance sur la plateforme et noue un partenariat avec Dust pour intégrer ses solutions d’assistants AI dans ses opérations.
Revolut serait sur le point de lancer son propre stablecoin.
Open AI ouvre ses bureaux à Paris.
Flowie décroche officiellement le titre de plateforme de dématérialisation partenaire, devenant la plus jeune startup à la décrocher ! Qonto, One Up et Pennylane font partie de cette liste également.
Wefox nomme un nouveau CEO : Joachim Müller, déjà CEO par intérim lors de la restructuration. On parlait de Wefox dans une précédente édition.
Spendesk envisage de se séparer d’un quart de ses effectifs et engage un plan de réduction de masse salariale.
SGForge annonce un plan pour déployer le EUR Coinvertible sur la blockchain Solana.
Quelques tendances pour imaginer le futur
14 startups à surveiller selon les VCs, article de Sifted.
Revaia publie un guide pour aider les fonds VC et growth dans la décarbonation de leur portefeuille d’investissement.
A l’occasion du France Digitale Day, France Digitale publie aux côtés de 32 associations européennes de startups, les 251 entreprises de la deuxième édition du Leading European Tech Scaleups (LETs).
5 conseils pour investir en crowdfunding selon Benjamin Wattine, co-fondateur et CEO de Sowefund.
🎁 Bonus News
Nos yeux de lynx ont loupé quelques actualités la semaine dernière…
Xerotech, un constructeur de batteries électriques irlandais, a levé 44 millions d’euros.
Battolyser System, une solution néerlandaise de stockage d’énergie à double usage avec une fonction combinée de batterie et d’électrolyseur qui peut stocker de l’électricité et produire de l’hydrogène à partir d’énergie renouvelable a levé une Serie A de 30 millions d’euros auprès de Global Cleantech Capital, Innovation Industries, et Invest-NL
Fuse Energy, un fournisseur d’électricité renouvelable londonien a levé 12 millions de dollars auprès de Multicoin Capital, Creandum, Lowercarbon Capital, Balderton Capital, Lakestar, Accel, Ribbit Capital, BlueBox Group et des Business Angels.
Baltis a lancé une nouvelle offre dédiée au financement de start-ups dans la mobilité en collaboration avec Jean-Baptiste Djebbari, ancien Ministre des Transports.
Bitstack, la startup qui vous aide à épargner en Bitcoin, vient de franchir le cap des 100 000 utilisateurs et des 100 millions d’euros épargnés et investis en Bitcoin.
C’est tout pour cette semaine…. Enfin… On verra la semaine prochaine ! 🫣
Evènement à venir
Appel à candidature pour être accompagné chez Urban Odyssey le startup studio dédié à la ville de demain. De juin à septembre 2024.
Fundtruck by Maddyness :
Provence Alpes-Côte-d’Azur les 23, 24 et 26 septembre
La Réunion le 27 septembre
Nantes Digital Week. Du 19 au 29 septembre.
Le Grand Bain – 6ème édition organisée par La French Tech Aix Marseille. Le thème : La Tech est-elle le futur ? Le 23 septembre.
B2B Rocks – L’évènement numéro 1 dédié au SaaS organisé à Station F. Du 25 au 26 septembre.
Nordic Fintech Week – Le plus gros évènement Fintech des Nordics. Le 25 et 26 septembre.
Venture Capital Forum Amsterdam. Le 25 et 26 septembre.
Appel à candidaturev – Spark Innovation, Incubateur des Hauts de France. Jusqu’au 30 septembre.
Appel à candidature – Statut étudiant entrepreneur. Jusqu’au 30 septembre.
Appel à candidature – SG Planète A à Lyon. Jusqu’au 4 octobre.
Moove Lab – 13ème promotion d’appel à projets de mobilité. Jusqu’au 4 octobre.
Quelques autres trucs cool !
Les 4 tendances autour de l’actionnariat salarié dans la FrenchTech : 1. Le recours aux actions gratuites, 2. Appliquer des décotes aux BSPCE, 3. Des contrôles sur les reventes de BSPCE des salariés à des investisseurs particulier, 4. Des C&B (Compensation&Benefits) Managers dans les startups les plus matures.
Xavier Niel était à l’Olympia ce mercredi. Pourquoi ? Donner 5 leçons pour devenir milliardaire : 1. Allez en prison, 2. Faites confiance à Léna Situations, 3. Mordez la ligne jaune, 4. Pactisez avec le diable, 5. Béliève. Mojo !
Y aurait-il une mafia Payfit ? Réponse de Josselin Dugué, fondateur de Kano.
Clara Chappaz, directrice de la French Tech depuis 3 ans devient secrétaire d’état à l’Intelligence Artificielle et au Numérique, sous la tutelle du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Patrick Hetzel. Certains de ses prédécesseurs à ce poste sont également au gouvernement, avec Marina Ferrari (secrétaire d’état chargée du numérique depuis février 2024) au poste de Ministre déléguée chargée de l’économie du tourisme et Jean Noël Barrot (ministre délégué chargé du numérique de juillet 2022 et février 2024) au poste de Ministre de l’Europe et des Affaires étrangères.
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